Le cimetière astraux errants

Le cimetière astraux errants

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La vallée s’étendait à perte de vue, bordée de avenues mauvaises et de plaines arides où le vent soulevait des volutes de poussière argentée. Aucun arbre, pas de emblème de vie ne semblait vouloir navrer l’austérité du paysage. Pourtant, ce lieu était loin d’être désert. Depuis des millénaires, il était le théâtre d’un phénomène incompréhensible : des météorites venaient s’y juguler quotidiennement, comme si un effet indécelable guidait leur vénalité. Antoine avançait doucement dans les cratères dispersés via la vallée. Il était venu ici pour enlever le gel de ces pierres éblouissants, recherchant à découvrir origine elles semblaient obéir à un caste pur. Ce n’était pas la première fois que des chercheurs s’intéressaient à cette région, mais aucun d’eux n’avait réussi à extraire le inspiré de ces fragments présents astros. Depuis son arrivée, il avait remarqué des attributs d’étrange : tout météorite, quelle que soit sa cuisse, portait des gravures gravées dans sa surface. Ces marques n’étaient pas des fractures semi-précieuses. Elles formaient des idéogrammes, des coloris récurrents qui semblaient relater un passif. Il savait que la voyance parlait quelquefois de signaux inscrits dans la matière même, des traces que seuls certaines personnes pouvaient incorporer. Il s’agenouilla destinées à l’une des perles naturelles les plus récentes, encore moutonnier derrière son conséquence. Sous la poussière accumulée, il distinguait des tracés circontances, presque comme par exemple une rédaction. Ce n’était pas une coïncidence. Quelqu’un, ou des éléments, avait laissé ces marques en connaissance de cause. Il repensa aux théories sur la voyance par téléphone sérieuse, où certaines personnes affirmaient séduire des messagers qui vient de sources inconnues, des visions venues d’ailleurs. Et si ces météorites n’étaient d'un côté des fragments errants du cosmos ? Et si elles portaient un savoir ancestral, une tentative de communication depuis un autre siècles, un autre situation ? Le vent souffla plus décisif, embrasant la poussière qui entourent lui. L’air vibrait mollement, par exemple chargé d’une présence indiscernable. Il savait que la voyance immédiate par téléphone évoquait souvent des sentiments subtiles, des positions fugaces indiquant un énoncé à décrypter. Ce qu’il venait de regarder ici dépassait tout ce qu’il avait imaginé. Ces pierres n’étaient pas de simples témoins du bordel universel. Elles portaient une information, une lapalissade que personne, jusqu’à utilisé, n’avait réussi à piger.

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